Taxis-de-France, le forum des taxis

encore une agression cet fois ci dans le pays bigouden finistère (29), une femme qui ramène des marins en état d'alcoolisation sévère, raison le prix trop élévé de la course. Ils sont partis en mer, retour direct case gendarmerie au retour. Manifestation des taxis du pays bigouden ce jour.

raz le bol des clients qui ralent en permanence et commentent les prix de nos taxis, "c'est trop cher, c'est trop cher!"

Par contre pour s 'en mettre dans le nez et ou faire la fête c'est jamais cher mais pour les ramener à bon port, c'est toujours trop cher, exaspérant!


http://www.ouest-france.fr/2009/01/19/pont-l-abbe/Les-Taxis-de-nuit-se-rarefient--55278605.html

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/la-triste-histoire-du-marin-pecheur-noye-d-alcool-13-12-2011-1532492.php
voici l'aventure qui m'est arrivée en novembre 2011 , c'est le meme agresseur que ma collègue du sud du 29

Le lieu aura surement une durée de vie courte ... ;))



La triste histoire du marin-pêcheur noyé d'alcool

«Ben, je ne me souviens plus. Letrou noir». Un demi-sourire las, puis «j'ai bien pu lui mettre un poing. Je me connais quand jesuis ivre». Ce marin-pêcheur ne voudrait surtout pas fuir ce qui lui vaut d'être à la barre en inconfortable posture et s'empresse de s'excuser auprès de ce chauffeur de taxi qu'ila battu comme plâtre. Mais voilà, au retour de «pêche qui n'a pas été bon», il s'est noyé dans des hectolitres. Première piste le lundi, deuxième le mardi et dix de der lemercredi avant de téléphoner au taxi pour un retour à la maison. Mais ce chauffeur a de la mémoire. Trois ans avant, il avait déjà conduit l'individu qui n'avait pas payé la course. Et comme il semblait, encejour de novembre, ne pas enavoir davantage l'intention, ilafait halte devant la brigade de gendarmerie après avoir enfermé l'indélicat ivre mort dans la voiture. «Il a commencé à tout toucher etilconnaît bien le mécanisme du taximètre puisqu'il a réussi à le remettre à zéro», se souvient le chauffeur du banc des victimes. Ilsait aussi qu'il l'a libéré, qu'il a été insulté, frappé et qu'en tombant, il a réveillé un sacré mal de dos. Depuis, il ne peut plus travailler. «Pour accélérer et freiner, ilfaut bouger le pied droit. Ça me fait mal», explique-t-il sans haine au tribunal. De haine, il n'y en aura pas davantage contre celui qui a été récupéré 500m plus loin le pantalon sur les chevilles et soul comme un cochon. «Votre place n'est pas en prison, ilvous faut surtout des soins», consentent de conserve, une fois n'est pas coutume, parquet et défense. L'homme est ainsi condamné àsix mois de prison dont cinq avec sursis et mise à l'épreuve avec obligation de soins et de remboursement de la victime.

Ouest-France / Bretagne / Brest / Le Conquet / Archives du mardi 13-12-2011



Ivre, il agresse un chauffeur de taxi : 5 mois de sursis - Le Conquet
mardi 13 décembre 2011
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Le 9 novembre dernier, ça fait trois jours que ce marin-pêcheur a retrouvé le plancher des vaches. « Énervé à cause d'une mauvaise pêche », il se fait un défi brestois à l'envers : trois jours à boire le plus possible ! Ce soir-là, il appelle un taxi depuis un bar. En chemin, le conducteur reconnaît cet homme qui avait refusé de payer la course une précédente fois. « Là non plus, j'vous payerai pas », rétorque le soiffard.

Ni une ni deux, le chauffeur décide d'aller porter plainte en gendarmerie. Avant, il prend soin d'enfermer son passager. « Mais comme il touchait à tout, je l'ai laissé sortir », explique le chauffeur. Là, l'homme lui donne un coup qui le propulse sur le capot. Depuis, le chauffeur est en arrêt de travail, souffrant d'une hernie discale. « C'est mon métier qui est aujourd'hui en jeu... »

« J'me souviens plus de rien. Le trou noir », lâche le prévenu, un Quimpérois de 24 ans. « Un coup-de-poing ? C'est possible. J'me connais quand j'suis ivre. » Son casier le confirme, l'homme a un vrai problème avec la boisson. « J'vois bien que ça peut pas continuer », explique celui qui promet de se soigner. Le tribunal compte bien l'y forcer, en le condamnant à cinq moins de sursis conditionnés par une obligation de soins durant deux ans.

Avec un peu de recul cette mésaventure aurais peut etre été évité ,parce que j'ai croisé pendant le trajet 3 collègues taxis , il suffisait d'avoir la possibilité d'appuyer sur une touche du taximètre pour allumer toutes les lampes clignotants en meme temps en cas de problème avec le nouveau lumineux ,pour que les collègues ou les services de sécurité puissent intervenir , mais avec si peu d'intelligence les dis représentants de la FNAT ,( un peu d'intelligence c'est le contraire d'un QI d'huitre) écoutaient la base ,nous n'en serions pas là,et ne donnaient pas de fausses informations à la FCO , car il ne faut pas confondre messieurs , mesdames de la FNAT revendication et règlementation.

Je crois que ce système existe.

je sais qu'il a existé avant les années 1995 , certains en ont abusés , voila ou nous en sommes en terme de sécurité avec un élément à ne pas négliger